Parallèlement à l'œuvre au trait, (croquis, dessins gravés, encres de chine), héritée de sa formation de lithographe, dès 1948, Georges Item est un peintre à part entière. Sa peinture est forme et couleur, surface non dessinée au préalable. Très tôt, abandonnant l'huile, il privilégie comme médium la cire amalgamée à des pigments purs et naturels.
Un chimiste bâlois, M. Diebold, approvisionne à leur domicile quelques peintres amis, sillonnant en caravane chaque année la Suisse et la France : pots, tubes, craies, cires protectrices, du fabriquant à l'atelier. Très sélectif quant au choix des pigments naturels, M. Diebold, sa vie durant, a refusé de vendre sa formule à des manufactures de peinture.
Allant de la nature morte —que les allemands appellent vie tranquille— au paysage, y intégrant l'humain, (groupes, couples, femmes) et l'animal, passant du figuratif à l'allusif, de la vue à la vision par le chemin d'un imaginaire toujours figuratif.
Ses dernières toiles sont des représentations ou des évocations de lieux, de figures imaginaires. Peintures du dedans comme du dehors. En 1970, ne voulant pas déboucher sur une abstraction trop formaliste ou mentale à son goût, il abandonne la peinture sur toile et se concentre sur le dessin, en particulier l'encre de Chine et le dessin gravé.
Un chimiste bâlois, M. Diebold, approvisionne à leur domicile quelques peintres amis, sillonnant en caravane chaque année la Suisse et la France : pots, tubes, craies, cires protectrices, du fabriquant à l'atelier. Très sélectif quant au choix des pigments naturels, M. Diebold, sa vie durant, a refusé de vendre sa formule à des manufactures de peinture.
Allant de la nature morte —que les allemands appellent vie tranquille— au paysage, y intégrant l'humain, (groupes, couples, femmes) et l'animal, passant du figuratif à l'allusif, de la vue à la vision par le chemin d'un imaginaire toujours figuratif. 
Ses dernières toiles sont des représentations ou des évocations de lieux, de figures imaginaires. Peintures du dedans comme du dehors. En 1970, ne voulant pas déboucher sur une abstraction trop formaliste ou mentale à son goût, il abandonne la peinture sur toile et se concentre sur le dessin, en particulier l'